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Face au pire comme au meilleur,
Je crois toujours au pouvoir de ma paix intérieure.
Malgré tout ce qu’on a pu m’en dire,
Malgré tout ce qu’on a pu lui faire en enfer,
Malgré tout ce que, pour elle, j’ai dû subir.
Malgré le quart d’heure de mon empire,
Malgré le fait que je sois la bête noire de mes sœurs.
Parce que je suis né insoumis,
À l’orée de ma vie,
Un jour je mourrai, un jour en marge.
Parce que je suis ce que je suis,
À l’orée de la nuit,
Je ne suis qu’un humain assumant
La somme de toutes ses humeurs.
Si j’accepte d’être la nuit à tes yeux,
C’est pour mieux préserver ma lumière intérieure.
Car, au final, tes prétentions sont des lueurs,
Mais cela ne veut pas pour autant dire
Qu’elles ont aujourd’hui une quelconque valeur.
Ne fais pas semblant de ne pas comprendre
Que l’idiot du village n’est que l’ombre de la majorité.
Ne fais pas semblant de ne pas voir
Que tu lui ressembles, tout comme toi seul peux le désincarner.
Je te le dis, pour le pire et le meilleur,
Je crois toujours au pouvoir de ma paix intérieure.
Malgré tout ce qu’on a pu m’en dire,
Malgré tout ce qu’on a pu lui faire en enfer,
Malgré tout ce que, pour elle, j’ai dû subir.
Malgré le quart d’heure de mon empire,
Dis-lui que je l’aime, au nom de ma paix intérieure.
Que ce soit écrasé comme une merde
Ou encensé comme le serait un phénix.
Sur la terre de tous les vices, ne vois-tu pas que les plombs ont sauté ?
Ne vois-tu pas que l’intérêt et la déraison s’unissent,
Là où la bonne foi agonise sans raison ?
Ne vois-tu pas que le respect convulse,
Pire encore que s’il avait abusé d’antidépresseurs ?
Ne vois-tu pas que la générosité agonise,
Répercutant son mal-être par retour d’ascenseur ?
Ne fais pas semblant de ne pas comprendre
Que l’idiot du village n’est que l’ombre de la majorité.
Ne fais pas semblant de ne pas voir
Que tu lui ressembles, tout comme toi seul peux le désincarner.
Je te le dis, pour le pire et le meilleur,
Je crois toujours au pouvoir de ma paix intérieure.
Malgré tout ce qu’on a pu m’en dire,
Malgré tout ce qu’on a pu lui faire en enfer,
Malgré tout ce que, pour elle, j’ai dû subir.
Malgré le quart d’heure de mon empire,
Malgré que je sois la bête noire de ma mère.
Et même le karma en feu,
Dis-leur que je ne céderai pas
Face au mal de notre époque ;
Que je ne céderai pas face
À ce qui est contre nature,
Même face à celle d’une main tendue.
Et même les larmes aux yeux,
Dis-leur que je ne céderai pas face à l’adversité,
Même face à une époque pleine de toc,
Tel un roc pris dans la tempête.
Et même l’âme à nu face à mes créateurs,
Dis-leur qu’au nombre de mes détracteurs,
Mes épaules restent aussi larges
Que peuvent être longues leurs langues de vainqueurs.
Et que je suis malgré tout en vie,
Malgré tout ce qu’on a pu me dire,
Malgré tout ce qu’on a pu me faire en enfer,
Malgré tout ce que, pour cela, j’ai dû subir.
Malgré le quart d’heure de mon empire,
Malgré que je sois la bête noire de mon père.
Malgré tout ce qu’on a pu me dire,
Malgré tout ce qu’on a pu me faire en enfer,
Malgré tout ce que, pour le dire, j’ai dû subir.
Je crois toujours en l’avenir,
Parce que je porte ma croyance en un monde meilleur.